Février 2021

Voici une des objections qui est sortie quand je me suis posée avec le programme Libérez votre créativité et que j’ai commencé à m’imaginer en tant qu’auteure !
Une bien jolie pensée à attraper…

Je me suis posée avec avant-hier, j’ai vu comme cette pensée va même jusqu’à me faire oublier qu’on entre dans le mois suivant et que la newsletter fait partie du passage. Quand je crois cette pensée, je n’ai pas envie de m’y mettre, ça devient la corvée de la fin du mois, je reporte… Je me sens bloquée, sans idées, sans rien d’intéressant à dire. Je me mets la pression d’écrire quelque chose de passionnant qui va faire que tout le monde va cliquer pour lire ! J’entends mentalement des commentaires de mes proches suite à mes toutes premières newsletters : “Il y a trop d’infos.”, “Ce n’est pas assez personnel.” Le bénéfice que j’en tire ? Ça me donne des excuses, si je fais à la dernière minute en 5 minutes, c’est normal que ce ne soit pas parfait !

Sans la pensée, je serais une femme assise à son bureau en train d’écrire sa newsletter. Sereine, tranquille, avec des infos à donner à celles et ceux qui veulent les avoir ! Je verrais ce moment comme une opportunité de faire le point sur ce qu’il y a à venir. Ce serait la newsletter de moi pour moi, mon ancrage dans le mois qui se profile.

Alors l’inverse serait-il aussi vrai, voire plus vrai ?
Je sais écrire une newsletter ? Eh oui ! Je le fais depuis un an et demi ! Je suis en train de le faire là tout de suite. Tous les mois, j’ai des retours de gens à qui ce que j’écris parle. Peu de gens se désabonnent.
Ma façon de pensée ne sait pas écrire de newsletter ? C’est ça : ma façon de pensée bloque le processus. Mon souci de perfection ne saura jamais écrire assez bien !